Site francophone de référence sur l’agriculture biologique végétalienne. Pour découvrir l’historique, les influences, les motivations, les méthodes culturales, visiter des jardins et contacter d’autres personnes.
dimanche 24 septembre 2006, par Végéculture
Vous avez un intérêt pour la culture biologique végétalienne, ou êtes simplement curieux d’en découvrir davantage, voici diverses voies qui s’offrent à vous. :
Plus nous en savons sur les enjeux et possibilité de la culture biologique végétalienne, plus nos idées deviennent claires et plus nous devenons aptes à diffuser l’information.
Pour ce faire, les moyens ne manque pas :
Le plus grand impact que nous puissions avoir consiste à se changer soi-même. Par notre mode de vie, nos habitudes alimentaires, nos choix de consommation, nous avons un impact direct sur la société, la planète et les habitants qui s’y trouvent. Les pistes de réflexions ne manque pas :
La meilleure façon de savoir d’où nos aliments proviennent et comment ils furent cultivés consiste à les faire pousser soi-même. Tout le monde peu cultiver des légumes, et pas besoin d’un grand terrain.
Cultiver de manière végétalienne,
Nourrir des gens avec des aliments bio végétaliens est une preuve à la fois tangible et gustative de son efficacité ; nourrir des gens avec des aliments bio végétaliens est un acte radical menant vers une société davantage pacifique et écologique.
Que ce soit en ville ou à la campagne, dans un champ ou sur un balcon, pas de raison pour se priver d’aliment frais. Jardin communautaire, toit végétalisé, cours arrière d’un voisin, culture en pot, passez voir la section Cultiver soi-même pour en savoir davantage.
Et ceux qui désirent vivre d’agriculture, cela est tout à possible de cultiver commercialement. Différents types d’entreprises existent, quelles soient à petite ou grande envergure. Passer pour la section mise en marché.
Toute personnes est la bienvenue afin de contribuer au développement du jardinage ou de l’agriculture biologique végétalienne, quelques soient vos intérêts, habileté, disponibilité.
Le but n’est pas de « convertir » ou d’harceler les gens. Il y a déjà tellement de gens qui ne demande qu’à découvrir l’existence de l’agriculture biologique végétalienne.
Le proverbe dit bien qu’ « il n’y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ».
Ainsi, appliquons les principes de non-violence et n’entrons pas dans un combat inutile. Partageons notre intérêt et nos connaissances de manière positive.
L’information disponible en français reste limitée. Toutefois, on trouve anglais et en allemand de riches documents d’information méritant d’être rendu accessible pour les francophones. Selon vos habileté, plusieurs options s’offre à vous :
Traduction de l’anglais
Traduction de l’allemand
Traduction du français vers…
Occasionnellement, nous avons également besoin de gens intéressés à faire de relecture de texte en cours de traduction, ce qui demande moins de temps et de connaissances linguistiques.
Vous avez un intérêt envers la culture biologique végétalienne, partagez vous idées. Les médias sont bien souvent plus ouverts que l’on pense. Diverses thèmes et publications peuvent être abordés : jardinage, écologie, alimentation, agriculture, etc. Et pas besoin d’être écrivain professionnel ou journaliste.
Quelques idées pour diffuser :
Et les autres médiums ? Laissez aller vos talents et exprimez-vous !
Le domaine de l’agriculture végétalienne ne fait que se réveiller, et il reste beaucoup à découvrir.
Au niveau littéraire
Les bibliothèques, Internet, les ministères, les agriculteurs ont déjà quantité d’information ne demandant qu’à être rassemblée. Même si l’objectif des recherches ou écrits ne visait en rien l’optique végétalienne, nombre d’éléments peuvent être récoltés. Pensons à aux recherches sur le bois raméal de Gilles Lemieux de l’Université Laval, ou à la contribution de John Jeavon aux États-Unis sur les sols non compactés.
Au niveau agronomique
Plusieurs recherches terrain mériteraient d’être réalisées avec de combler certaines lacunes et apporter des données techniques. Parmi les axes de recherche, on retrouve :
Les gens sont là, les connaissances sont là, les idées sont là, il ne reste qu’à favoriser les échanges, les contacts et le support entre chacun.
Si votre situation le permet, toute contribution financière sera grandement appréciée. Vous pouvez faire un don en ligne.
Des réseaux anglais et allemand existe déjà, vous pouvez également les supporter en devenant membre.
Vous êtes intéressé, ou avez d’autres idées, contactez-nous !
18 mai 2007 13:26, par OUATTARA DOUGNIMASSIGUE
La CIPRAGES ( Coopérative Ivoirienne des Producteurs Agricoles et Eleveurs des Savanes ) est une coopérative qui s’interésse à la culture du soja bio et du mais,nous venons auprès de votre structure pour une assistance en sémence du soja pour la réalisation de 50 hectares de soja .
En effet ,pendant la campagne agricole 2003-2004 la CIPRAGES a orienté ses activités agricoles vers les cultures vivrières (mais, riz ,sorgho …) et les cultures maraîchères ; cela s’explique du faite que les sociétés cotonnières n’arrivaient plus à satisfaire les besoins des paysans. Face à cette situation la coopérative a pu octroyer plus de 2500 tonnes d’engrains et 3996 litres d’herbicides à plus 2442 coopérateurs dont 58 femmes pour une superficie de 7266 hectares réparties dans 116 villages et 05 sous-préfectures dont 04 dans le département de FERKESSEDOUGOU et 01 dans le département de KORHOGO.
Nous comptons énormément sur votre structure pour l’implantation de cette activité agricole.
Le Président du Conseil d’Administration
Voir en ligne : La CIPRAGES
7 décembre 2007 07:59, par camille filion
il serais interessant que les gouvernements aiderais la culture bio au lieu de subventionner les producteurs de porcs et de boeufs et la production a grande surface du bledinde de doncfasco
23 février 2008 11:40, par geneviève
Pouvez-vous me donner des infos sur la culture de la pomme de terre dans des pneus ?D’avance je vous en remercie