Site francophone de référence sur l’agriculture biologique végétalienne. Pour découvrir l’historique, les influences, les motivations, les méthodes culturales, visiter des jardins et contacter d’autres personnes.
Sixième année de jardinage végétalien ! Passez aussi voir les photos de l’an dernier.
Cette année, je poursuis aussi mes essais de culture en bacs.
D’abord un rappel important pour ceux qui n’auraient pas suivi l’évolution du jardin :
– Le sol n’a jamais été travaillé, labouré, biner., rotoculté...
– Aucun fertilisant, pesticide, herbicide, produit chimique ne fut employé
– Le seul apport que je fais est l’ajout d’une couche de foin (et non de la paille !) une ou deux fois par année.
– Tous les résidus de culture sont laissés sur place
– Aucune plante n’est arrachée, sinon les adventices ou les légumes racines.
Plusieurs nouveautés cette année !
La culture de champignons
Suite à une conférence donnée par Vincent Leblanc à Québec, nous avons acheté des mycéliums de strophaire qu’il produit afin d’en implanter dans le jardin. J’ai fait deux implantations : l’une en plein cœur du jardin, l’autre à l’ombre sous un arbre.
La multiplication des fraises...
Les fraises continuent leur conquête de la planète.
Et les récoltes progressent tout autant ! Cette année, plus de 200 livres de fraises auront été récoltées dans ma parcelle. Miam miam !
Pour accompagné un noisetier planté antérieurement, j’en ai planté un second (nécessaire pour une éventuellement fructification).
J’ai aussi enfin mis la main sur des plants d’argousiers. Je suis impatient de voir ces "citronniers nordiques" produire leurs petits fruits oranges.
Le kiwi, ça pousse ici ! Plantation de kiwis (un mâle et une femelle)
J’ai aussi ajouté des plants de groseilles et de camerisiers
Je poursuis mes observations du terrain afin d’y découvrir d’autres plantes comestibles poussant à l’état naturel. Outre les fougères sur le bord de la rivière, on retrouve de cerisiers de Virginie sauvages, des fraisiers et des framboisiers sauvages. La surprise cet été fut la découverte d’amélanchiers poussant librement sur le bord d’un fossé. La meilleure explication serait la dissémination des graines par les oiseaux après s’être nourris dans mon amélanchier de jardin. Fantastique !